En plein air
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Posted:Jun 1, 2012 2:31 pm
Last Updated:Aug 15, 2012 12:25 pm
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De nombreux lieux sont propices à rendre les ébats plus excitants, plus mémorables.
Les câlins qui m'ont parus les plus intenses sont sans conteste ceux qui se sont passés en plein air.
Nous étions en ballade et tout d'un coup une certitude nous a saisis sur cette colline. Ce lieu nous attendait, nous accueillait pour assouvir nos besoins les plus instinctifs.
Enlever ses vêtements sans murs pour se cacher, se mettre nus avec l'idée piquante qu'on peut être vus, sentir l'air sur sa peau comme si on entrait dans la mer, s'assumer en plein jour et nous voir pour la première fois dans tout notre désir.
A l'excitation de l'interdit se mêlent tous les sens exacerbés par la nature. Les odeurs de plantes plein le nez, la lumière incomparable du soleil pour nous révéler comme jamais, les picotements du lit de végétation calmés par les caresses de la brise, les bruits de l'extérieur qui perturbent l'esprit.
Un sentiment envahissant et déroutant de se sentir en phase avec la nature, de ne faire qu'un non seulement par notre fusion corporelle, mais aussi avec la terre qui nous reçoit.
Se dire enfin que c'est chose naturelle et si agréable que de s'aimer physiquement, et cela hors de chez soit.
Je ne me rappelle pas du manque de confort, je me rappelle que c'était odorant, frissonnant, saisissant. Le froid a disparu dans nos étreintes, la dureté du sol, les feuilles qui grattent ou les cailloux qui blessent se sont fait oublier dans la sensation incroyable du plaisir sexuel juste sous le soleil, au sommet de cette colline surplombant toute la région.
Cet effet planant, ce décuplement du lâcher prise croit dans le bercement des bruits ronronnant de la végétation qui bruisse, de la faune qui continue de s'affairer alentours.
Etre au contact direct de la terre, de l'herbe quand on se fait pénétrer, prend une dimension originelle assez incroyable.
Sentir la peau de l'homme qui me prend, fraîche et douce comme jamais je ne l'avais connue jusqu'alors, devenir bientôt moite et incandescente, voir dans ses yeux gourmands des lueurs que seul le soleil direct peut produire et m'enflammer à mon tour. Sentir dans mon corps la force que ce décor insolite et riche lui procure. Comprendre que la situation le rend fier et amusé, et que lui aussi s'en souviendra.
Faire l'amour en plein air, c'était positivement bandant.
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Ma fois à 3
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Posted:May 30, 2012 1:55 pm
Last Updated:Aug 15, 2012 12:26 pm
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Je n'ai pas eu beaucoup d'occasions de faire l'amour à 3. Celle qui m'a le plus marquée s'est passée avec un couple.
Je n'ai pas trouvé ça si facile, c'est plus intimidant.
Mais ils ont été gentils, ils m'ont guidée quand je ne savais plus par où commencer.
Ca a été assez naturel, au fur et à mesure j'ai oublié, j'ai lâché prise.
J'embrassais et je caressais la poitrine de mon amie pendant que homme s'occupait de vérifier que nos chattes se mouillaient bien.
Puis il a pénétré sa femme pendant que je continuais de l'embrasser, les 2 caressaient tout mon corps avec leurs mains, et je bougeais au rythme de leurs corps.
Puis il s'est retiré d'elle et j'ai léché sa chatte goulûment; pendant qu'il me prenait en levrette mes coups de langue s'enfonçaient en elle au rythme des coups de reins. Ses mains à lui caressaient mes cuisses et moi je m'agrippais aux seins pulpeux de cette chaudasse.
Elle se tortillait et gémissait sans limites.
Quand j'ai joui je me suis allongée sur le dos, elle est montée sur moi et s'est mise à frotter sa chatte contre la mienne, puis contre ma cuisse, en ciseaux. Elle glissait ses doigts en moi de temps en temps. homme s'est mis debout, il a enfoncé sa queue dans ma bouche, et il bougeait au rythme de sa femme, un coup de rein chacun et j'étais envahie de sexe. j'ai attrapée la main libre de mon amazone, elle s'appuyait sur moi si fort, c'était intense de la sentir me serrer la main. Nous étions tous en symbiose. Elle faisait de larges mouvements circulaires de bassin pour bien frotter clito, je sentais sa chatte couler le long de nos fesses.
Sa main libre passait le long de mon ventre, sur mon clito, à l'entrée de ma fente, elle était quasiment en transe, elle secouait la tête, elle criait bruyamment.
Lui caressait mes cheveux et mes seins et il faisait des grimaces en enfonçant sexe dans ma bouche. Il émettait des petits grognements.
C'était débridé et je n'ai pas souvent lâché la rampe de cette manière.
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Une vision excitante et dérangeante
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Posted:May 30, 2012 1:24 pm
Last Updated:Nov 27, 2012 10:17 am
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Lorsque j'étais ado, j'avais beaucoup de temps à tuer. Un été particulièrement, j'étais très attentive à tout ce qui se passait autour de chez moi, à la recherche d'aventure. J'ai remarqué qu'une fille du quartier, de quelques années mon aînée, traînait souvent autour de chez moi. Après plusieurs jours à observer manège, je me suis décidée à la suivre.Il s'est avéré qu'elle venait pour attirer le chien du voisin en l'appelant, et le ramener par le collier dans jardin.
C'est ainsi que je l'ai vue s'installer sur le côté de sa maison, à l'abri des regards de la rue. Elle s'est assise, à gentiment caressé la tête du labrador, lui a flatté le flan.
Elle a enlevé ses habits, s'est mise à 4 pattes, et c'est avec effroi et une excitation dérangeante que j'ai vu le chien la monter, et secouer bassin.
Elle gémissait, tendait sa tête en arrière, souriait et grimaçait. Il était évident qu'elle prenait pied.
Il n'y avait aucune violence, à part les légères traces des griffes des pattes avant du chien sur dos. Il n'y avait aucune maltraitance, aucune obligation. Juste du sexe bestial. Du plaisir animal. Aucune relation intellectuelle. Aucun rapport compliqué. Juste une queue et une chatte qui s'entendent, qui s'emboîtent, qui se contentent mutuellement.
Et j'étais pourtant tétanisée par ce spectacle qui me paraissait anormal. Et en même temps excitée par cette vision d'une sexualité pure et débridée.
Par visage tellement contenté par ce rapport. Par les mouvements de corps qui recevait avec délectation.
A chaque fois que j'y repense, je reste partagée entre le dégoût et l'envie.
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Mes premières expériences entre filles
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Posted:May 28, 2012 11:28 am
Last Updated:Feb 19, 2019 12:25 pm
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Très tôt j'ai été excitée par les filles.
Dans la cour de la maternelle déjà, on jouait au papa et à la maman entre filles autant qu'avec des garçons. On jouait bien sûr aux gendarmes et aux voleurs, mais ça s'appelait "trappe-trappe-culotte" ! Quand on se faisait attraper on allait dans le coin de la cour et on devait montrer sa culotte à celui ou celle qui nous avait coincé ! Il arrivait que la main accompagne les yeux...
En primaire j'embrassais mes copines dans les toilettes.
A la même époque quand j'étais en vacances à la campagne, j'allais chez les petites voisines dont les parents étaient souvent absents. On faisait des scénettes imitant la vie des adultes. Mais c'était d'imiter les nuits qui était le plus intéressant, et ça revenait bien plus souvent que faire à manger ! On se mettait au lit, l'une sur l'autre, en culottes, on s'embrassait et on se frottait l'une contre l'autre. Je le faisais avec chacune des 2 soeurs, l'une après l'autre.
L'une avait les jambes écartées, et moi je me frottais contre elle rageusement, en appui sur mes bras. Puis je lui attrapais la nuque et je l'embrassais de façon abrupte.
L'autre me faisait m'allonger, les jambes serrées, et elle montait sur moi, tantôt les jambes serrées, tantôt à cheval sur moi. Elle se frottait de tout corps contre moi, ses bras enserraient mes épaules.
Nos culottes se mouillaient inlassablement.
On y passait le plus de temps possible, toujours en alerte de peur que leurs parents nous surprennent.
Aujourd'hui encore j'y repense avec beaucoup d'envie.
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Comment j'aime me faire prendre
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Posted:May 28, 2012 10:46 am
Last Updated:Feb 19, 2019 12:24 pm
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Pour ceux qui auraient une certaine appréhension de la première rencontre, je peux vous donner ici quelques indications, pour vous inspirer.
Après bien sûr aucune obligation de s'y plier.
En face à face, je suis assez timide, je veux dire je ne sais pas faire la conversation ! C'est pourquoi j'aime bien passer direct aux choses sérieuses. Je ne suis pas antipathique pour autant ...
Il est important pour moi que tu sois à l'aise, libre à toi de prendre le temps de faire le tour de l'appart, tu visites à ton aise, pour prendre tes repères, pour savoir où tu es.
Si tu as soif, tu te sers au frigo, je ne trouverai pas ça malpoli au contraire, fais-toi plaisir et prends l'initiative !
Tu vas à la salle de bains quand tu veux, pas besoin de demander,
d'ailleurs se laver les mains avant est une bonne chose 
Moi je serai tranquillement dans la chambre à m'installer.
Moi j'avoue je suis pour passer aux choses sérieuses assez rapidement, donc quand tu fais ton petit tour, mets-toi dans l'ambiance ^^
Tu poses tes affaires ou tu veux, tu te mets à l'aise, tu prends ton verre et tu me rejoins.
J'aime bcp embrasser et caresser. J'aime sentir des mains fermes parcourir mon corps et m'agripper.
Les caresses de la nuque, des cheveux, font des frissons assez orgasmiques.
Bien sûr capote obligatoire ! Les caresses et les positions sont à démultiplier à loisir, rien ne sert de tout programmer. Les corps savent parler.
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Le lieu qui m'a le plus excitée
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Posted:May 28, 2012 4:07 am
Last Updated:Feb 19, 2019 12:23 pm
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J'étais jeune, nous étions à la campagne dans un mas, un groupe de personnes de divers âges et divers horizons réuni pour les activités agricoles: rentrer les foins, faire des enclos, faire les écuries etc.
Après le déjeuner nous nous sommes accordés une pause, le soleil étant trop brulant pour reprendre de suite.
Tout le monde restait dans la salle du déjeuner, et j'annonce que je vais faire la sieste dans le fenil, le grenier où l'on range les ballots de foin au dessus des écuries. Je demande qui m'accompagne, personne ne suit.
Je me construis une petite cachette derrière quelques ballots de foin, j'étale mes habits pour ne pas me piquer et je m'allonge dessus. En culotte.
J'attends, sur le qui vive, aux aguets, mais rien ne se passe et je m'assoupis.
J'entends une voie émue "Tu as fait exactement ce que j'espérais". La vue embrouillée, je vois ce bel homme penché au dessus de moi, troublé. Il m'explique qu'il a du attendre que les autres ne le voient pas me suivre, mais qu'il ne pensait qu'à me rejoindre.
Il s'allonge sur moi, m'embrasse doucement puis fougueusement.
Il se relève et m'enlève ma culotte. Agenouillé, il soulève mon bassin, mes cuisses sont autour de ses hanches, il me pénètre, me caresse les seins. Après quelques mouvements il s'allonge sur moi et m'embrasse rageusement, me mords, me tiens la fesse fermement et me pilonne.
Nous étouffons nos gémissements pour que les autres ne nous entendent pas.
Ca ne dure pas très longtemps, nous étions trop excités, mais qu'est-ce que c'était bon !
Il sort du fenil par le portail arrière, je redescend 1/4h après par l'échelle de l'écurie. Et nous avons tous repris nos travaux comme si de rien n'était.
Mais jamais je n'oublierai ce moment de plaisir
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