Reset Password
If you've forgotten your password, you can enter your email address below. An email will then be sent with a link to set up a new password.
Cancel
Reset Link Sent
If the email is registered with our site, you will receive an email with instructions to reset your password. Password reset link sent to:
Check your email and enter the confirmation code:
Don't see the email?
  • Resend Confirmation Link
  • Start Over
Close
If you have any questions, please contact Customer Service

Fhou ya ya !  

rm_Coconuttss34 43F  
85 posts
8/14/2012 5:36 am
Fhou ya ya !

L'appartement est soigneusement rangé, la pénombre installée, la bougie parfumée qui vacille dans la chambre, les lumières d'ambiance colorées allumées dans le salon.
Les verres sont placés bien en évidence, sur le bar, passage obligé quand on va au frigo et qu'on en revient. La musique et le ventilateur savamment dosés dans la chambre, de l'air et du bruit de fond, assez pour être agréables, pas trop pour ne pas déconcentrer.

Je suis lavée, légèrement parfumée, épilée, maquillée, coiffée, j'ai enfilé avec précaution mon bustier, mon jupon et ma jarretière sortis de leur papier de soie, un lacet de cuir autour de mon cou et des boucles aux oreilles. Je me crème pour être sûre d'être douce. Je me brosse consciencieusement les dents et la langue.

Je dispose les jouets, les capotes, le matériel de massage sur le plateau au pied du lit, près du miroir et de la bougie. Je retape les coussins, ajuste ma tenue. Mine de rien tous ces préparatifs pour rendre le moment accueillant et naturel sont assez épuisants. Je repense aux diverses rencontres qui ont pu mal se passer, ou tourner court, et je suis sur le point de regretter tous mes efforts, mais je chasse ces idées noires et prends un chewing-gum parfumé aux fruits.

Je reçois le texto et tressaille, j'ouvre la porte de l'appartement en grand, puis j'actionne l'ouverture de l'immeuble. Il avance, décontenancé car je tiens en retrait, dans l'encadrement de la porte de la chambre. Il entre enfin dans l'appartement quand il m'entend lui dire "bienvenue". Il me regarde intensément dans les yeux, pour me faire comprendre que ma manière de l'attirer dans ma tanière ne lui plait pas forcément. Puis il étudie ma tenue et mon visage et semble réjoui. Je l'invite à déposer ses affaires au salon et à en profiter pour se servir à boire.
Je lui dis de faire comme chez lui, lui précise que la salle de bain est en face de la chambre. Je lui demande s'il a besoin de quelque chose, soupire de contentement quand il me dit non, et m'installe sur le lit, assise le dos bien droit, jambes repliées sous mon jupon, un brin provocante avec mon sourire de petite fille espiègle qui a tout préparé.

Je l'entends déposer ses affaires sur le canapé, marcher jusqu'au frigo, siffler d'admiration (ou de désapprobation ?) devant le choix de boissons, il semble abandonner et refermer le frigo.
Il vient vers la chambre, mon pouls s'accélère.

Il s'arrête en passant la porte, et je me rends compte de sa grande taille, de torse imposant, de visage carrément pas mal. Il contemple l'autel consacré aux jouets éclairé par la bougie, sourit (j'en conclus que je suis cataloguée dans les coquines, si ça n'avait pas encore été fait), jette un regard circulaire sur la parure de lit, le ventilateur, revient sur les jouets et s'arrête sur moi avec un sourire souverain. Je force sans doute instinctivement mon sourire d'une manière un peu gênée à ce moment là, et tapote le lit à côté de moi pour l'inviter à me rejoindre.
Il s'assoit au bord et défait ses lacets, je le sens agacé de ne pas y avoir pensé avant. Je lui caresse le dos, il semble se détendre à ce contact. Il se retourne et me regarde plus tendrement. Je caresse épaule, il m'attrape la joue de sa grande main et ça me fait fermer les yeux de douceur. Je me rapproche de lui, commence à ouvrir le bouton de sa chemise, en le regardant rapidement dans les yeux, toute empêtrée dans mes paradoxes d'envie débridée de lui et de timidité de me confronter à regard direct.
Sa main passe de ma joue à mon cou, mon épaule, mon bras, ma taille. Très efficace, ma tête se renverse en arrière sous le frisson, et ma main tombe de sa chemise. Content de effet, il m'attrape la nuque et m'embrasse, puis se recule pour me regarder dans les yeux, ce qui me fait baisser la tête par timidité maladive, (coucher ? oui sans problème, ravage-moi le corps, mais se regarder en face, si proche l'un de l'autre ? Quelle intrusion !) mais par sa poigne en bas de ma tête il me force à lui rendre regard. Il lit l'imploration sur mon visage et relâche la pression.
Il me dit que j'ai des yeux intolérables, ça me fait sourire et dénoue la tension. De l'originalité et en plus il ne stagne pas dans sa position de force. Il a aussi bien compris que je ne suis pas pour les conversations soutenues.

Il retire sa chemise pendant que je m'installe contre la multitude d'oreillers; il se colle à moi et nous nous embrassons comme des adolescents, à se caresser la joue, à s'attraper la mâchoire ou la nuque, puis les langues aidant à faire mousser les hormones, à s'attraper les fesses et se caresser un peu partout. A se frotter de tous nos corps l'un contre l'autre, à se grimper dessus comme des frénétiques. Mon bustier vole (5 laborieuses minutes pour l'enfiler, 10 secondes pour l'enlever, ça me fera toujours rêver), short aussi. Il reste alors quelques instants happé par mes seins, et s'en régale, puis repart sur tout mon corps. Regarder, toucher, embrasser, caresser, masser, lécher, chatouiller, mordre, pétrir, serrer, câliner. Encore quelques attouchements avec caleçon en place, mais la blague ne durera pas longtemps.

Il enfile la capote et m’écarte les cuisses. Je résiste légèrement avec les muscles de mes jambes, j’adore sentir que ça force, j’aime cette sensation qui annonce le délice. Il passe sexe tout le long de ma fente, et reste étourdi de ma moiteur, il fait rouler gland contre mon clito et ma tête se renverse dans un râle.
Mais il n’est plus temps de jouer, je me reprends, m’agrippe à cou, le regarde bien en face et guide sa queue dans mon sexe. Sa main se crispe sur ma cuisse, il s’enfonce et ma poigne se relâche de sa nuque, mes yeux se ferment de contentement. Sa tête vient se lover dans mon cou, ses mains se calent sous mes fesses, et les va et vient nous imbriquent de plus en plus profondément. Je relève mes jambes derrière dos, il m’embrasse en me caressant gentiment les cheveux, puis en attrape une mèche sur le haut de ma tête et appuie dessus pour mieux s’enfoncer en moi. J’ai l’impression d’être transpercée et un cri m’échappe. Par moments il fait de rapides vas et viens qui tapent contre mes fesses, puis reprend de lentes et profondes pénétrations, en remontant mes jambes à la verticale, ou en me soulevant le bassin avec ses mains et en s’asseyant sur ses talons. J’aime ces positions de face à face, parce qu'on peut se regarder, s’embrasser, se mettre joue contre joue, se mordre le cou. J’aime qu’il regarde ou touche mes seins avec cette envie dévorante qui se traduit par sa queue bougeant en moi.

Il me bascule sur le côté, garde ma jambe de dessous entre les siennes et plie ma jambe du dessus ; il reste à genoux et s’enfonce en moi en caressant ma fesse. Il se mord la lèvre. Ma chatte est serrée dans cette position et c’est un régal. Il attrape mon sein et augmente la cadence. Il m’attrape frénétiquement la taille pour me pilonner et j’en bave littéralement. Ma main se tend vers lui mais je n’arrive pas à l’atteindre, je respire si fort que j’ai l’impression d’être en transe. Il a peur de venir, il sort sexe et s’essuie le front avec la serviette qui est au bord du lit. Le ventilateur ne suffit vraiment pas.

Je lui suggère d’aller nous chercher de l’eau au frigo. Pendant qu’il s’éloigne je prends les mouchoirs sous le lit et m’essuie un peu les endroits stratégiques. J’enlève un peu du maquillage qui a coulé sous mes yeux. Il revient, me tend la bouteille et pendant que je prends de grosses goulées il va à la salle de bain s’asperger la tête et le torse. Je le remercie pour l’eau et il boit à tour, assis au bord du lit ; je tourne le ventilateur pour qu’il lui sèche le dos. Il soupire de contentement. Je m’allonge sur le ventre derrière lui, et lui fais des dessins dans le dos avec le bout de mon doigt quelques instants. Il rouvre les yeux et pose la bouteille au sol.

Il me tourne sur le dos et s’allonge à côté de moi, m’embrasse, et me caresse le ventre, les seins. Il me serre contre lui, nous écrase l’un contre l’autre et caresse mes fesses, mon dos. Puis il glisse sa main entre mes fesses, sent que je suis trempée et a une érection. Il me mord l’épaule, me lape le sein, puis me plaque ventre contre lit et glisse sexe entre mes cuisses serrées et je gémis de plaisir. Il va en bas du lit, je me retourne pour le regarder mais il me dit de rester tranquille d’un ton autoritaire.
Il m’attache les mains entre elles au dessus de la tête avec mon ruban en soie, me met un masque sur les yeux, puis je sens l’air du ventilateur me balayer le dos, ainsi que des chatouillis imprévisibles qui viennent et disparaissent dans mon dos, sur mes cuisses. Je crois qu’il utilise le plumeau mais c’est assez dur à identifier, privée de ma vue, cette sensation qui apparait et stoppe sans annonce sur ma peau, à n’importe quel endroit. Ca me fait tressaillir et je sens sans le voir le sourire de contrôle sur visage.
Je dois avoir la chair de poule et les brusques contractions de mon dos dues aux chatouillis font relever mes fesses. Je suppose que le tableau lui plait. Je m’attends à ce qu’il me pénètre ainsi, mais il me retourne sur le dos, écarte mes cuisses, glisse un doigt le long de ma fente et me dit « je n’ai jamais vu une fille mouiller autant que toi, tu es trem-pée ». Il fait de petits vas et vient et de petits rond avec gland contre mon clito et je m’agrippe aux oreillers en poussant de petits cris incontrôlables. Je veux ramener mes mains vers lui mais il me les renvoie derrière ma tête et me dis de rester tranquille. Je dis assez fort « Rentre là » et il arrête de glisser sexe sur le mien, comme surpris par le ton autoritaire de ma demande. Il me répond « tu n’es pas en mesure de réclamer quoi que ce soit » et m’enfourne sexe dans la bouche.
Je suis surprise et dans ma tête je me dis que c’est dangereux d’être autant à sa merci, moi qui suce rarement, par peur des maladies et parce que c’est pour moi une récompense que je prodigue aux amants réguliers qui m’ont d’abord fait jouir. Mais je me rends compte qu’ainsi contrainte, les yeux bandés, ça rend la chose assez excitante, et l’aperçu que j’ai pu avoir de la manière dont il me ramone la chatte me laisse présumer que nous jouirons plusieurs fois. Il sort, baisse mes mains sur mon ventre et rentre à nouveau sexe dans ma bouche, bougeant bassin pour me "violer" la bouche. Je caresse ses couilles avec mes mains. Il reste immobile et guide alors ma tête avec ses mains pour que mes lèvres glissent sur sexe. Quand il s’enfonce trop profond dans ma gorge, je manque m’étouffer et j’essaye de me dégager, il ne maintient pas la pression, puis fait des mouvements plus rapides et moins profonds. Il me relève les cheveux, m’attrape la chevelure entière, me caresse la tête à la fois gentiment et de manière assez peu contrôlée, tout pris qu’il est dans sa transe pipesque, il émet des râles de contentement quand ma langue roule dans la bouche pour entourer sexe, il accélère ou ralentit le rythme sans vraiment s’en rendre compte, juste conduit par le plaisir intense que lui procure ma bouche.

Mais je commence à avoir mal à la mâchoire, à ne plus arriver à respirer correctement. Je repousse bassin et ma tête et m’essuie de mes mains jointes la bave qui coule de ma bouche, et les larmes sur mes joues. Je sens qu’il est déçu, mais j’estime que j’ai joué le jeu, et qu’il est temps qu’on joue à 2, il n’y a pas que lui.

Il me tire par les pieds, n’y voyant rien je comprends à peine ce qui m’arrive, puis il me fait rouler sur le ventre et me tire les fesses en arrière, me mettant à 4 pattes. Je l’entends enfiler une capote et me pénètre sans crier gare, je suis surprise car je n’ai pas senti corps et je comprends qu’il m’a mise au bord du lit et qu’il est debout au sol. Ca me fait un peu mal, car mon vagin n’a pas encore eu le temps de s’« adapter » à cette position et je pousse des soufflements de douleur, en m’avançant un peu pour que ses coups de bite ne me transpercent pas les entrailles.
Il comprend et va plus doucement, je me recule alors et il m’attrape la taille gentiment. Il passe sa main sur mon sein, puis sur mon clito et je gémis. Il me laisse m’enfoncer sur sa bite, prenant le temps de goûter la position, je fais de petits cercles avec le bassin, me régalant de sa main et de sa queue, puis je me mets à m’enfourcher violemment sur sa queue, il reprend sa main et m’attrape les hanches pour me pilonner. C’est bon !
J’essaye de me cambrer plus ou moins pour bien sentir sa queue et éviter que ce soit trop répétitif. Il se retire sans un mot et je me sens frustrée. Je sens quelque chose de froid couler sur mes fesses et j’entends le vibromasseur se mettre en marche. Il me titille le clito, passe le vibro le long de toute ma fente, faisant glisser le gel sur mon petit rond. Il enfonce un peu le vibro dans ma chatte, le roule longuement sur mon clito, le repasse tout le long de ma fente, ces sensations à surprise sont de vrais cadeaux, c’est assez fantastique d’avoir les yeux bandés. Il me met tout le gode dans la chatte et présente sexe sur mon cul, il essaye de s’enfoncer mais c’est clos. Il force et je crie « non ne me fais pas mal » avec une réelle angoisse. Il me dit d’une voix calme et grave « ne t’inquiète pas, je n’irai pas comme un bourrin, je sais ce que je fais ».
Il fait des allers retours avec le gode dans ma chatte, en sortant parfois pour passer sur le clito et ça me détend, il passe pouce sur le haut de mes fesses, dans le gel et me l’enfonce dans le cul pendant qu’il m’enfonce le gode dans la chatte. Je reste immobile, interdite de cette nouvelle sensation. Il bouge lentement les deux, il me sent tendue. Il enfonce complètement le gode, retire pouce et présente sexe, il enfonce le gland, reste ainsi sans bouger et me caresse le clito. Je me sens totalement prise et j’aimerais qu’il me prenne le sein à pleine main mais j’ai les mains liées et je suis tellement estomaquée par cette position que je n’arrive pas à parler. Il reprend sa main pour enfoncer sexe, à mesure qu’il rentre dans mon cul l’air sort de mes poumons. Il rentre complètement et bouge le gode dans ma chatte, puis il bouge sexe, et les 2 en même temps ! J’émets des sons inhumains. Mes genoux ne tiennent pas et nous nous aplatissons contre le lit.
Il me relève le bassin pour glisser un coussin sous mon clito et se met à bouger comme un beau diable derrière moi, main sur le gode et sexe dans mon derrière, c’est vraiment bon. Je lui dis de mettre autre main sur mon sein, il pousse le gode puis prends ses 2 mains pour chopper mes seins et bouge sur moi pour s’enfoncer dans mon cul. Ca commence à me faire mal et je pousse avec le périnée pour faire sortir le gode de ma chatte. Il gémit quand le gode bouge et sort.
Il se remet à bouger en moi mais je lui demande bientôt d’arrêter avec une voix suppliante. Il sort et me demande si ça va. J’ai des larmes qui ont coulé. Il me tourne la tête et m’embrasse.

Nous nous allongeons sur le côté, face à face, j’ai toujours le bandeau, je me blottis un peu contre lui puis lui demande de me reprendre la chatte. Il se branle un peu, change de capote, et me demande quelle position je veux ; je me remets à plat ventre sur le coussin, cuisses serrées.
Il passe sexe entre mes fesses et trouve facilement le mien, tout trempé. Je prends sa main et la place contre mon clito, il commence à bouger bassin, mais je me mets à bouger le mien, relevant et roulant mes fesses, glissant nerveusement sur sa bite. Il crie et ne bouge plus. Je me lance dans une véritable danse du cul, je m’empale sur sa queue et la roule dans ma chatte, tout en me frottant le clito sur ses doigts. Mes fesses se relèvent et se frottent l’une contre l’autre, faisant bouger sa queue sur la droite et sur la gauche dans mon fourreau brulant, il gémit et crie, moi j’ai la tête dans les coussins, il s’abat sur moi et me mord la peau sur le côté de la nuque, tel un coq sur sa poule, véritable saillie animale. Je n’avais jamais ressenti ça, c’est débridé et puissant, le plaisir est incroyable.
Il reprend sa main et s’appuie sur mes fesses pour sortir de mon sexe, au bord de jouir. Je râle, me détache les mains en les secouant, attrape sexe et le place entre mes grandes lèvres, attrape sa main et la maintiens fermement sous mon clito. Je bouge mes fesses pour faire glisser sa queue, enroulée dans mes lèvres, qui vient buter contre mon clito. Il crie, je pousse des « han » à chaque butée, je passe d’avant en arrière à quelques roulements de bassins, je suis hors de moi, je suis seulement guidée par le plaisir de sexe contre le mien, je lui demande s’il aime, il me dit qu’il va jouir, je lui dis retiens un peu, me mets à faire de touts petits mouvements très rapides en appuyant bien sa main contre mon clito, et nous jouissons très bruyamment, moi qui suis habituellement si discrète.
Il enlève sa main de mon clito, y laissant la mienne, et je sens la capote se remplir de liquide chaud. Je suis heureuse, je me sens bien.

Il m’enlève mon bandeau, nous sommes rouges et les cheveux en pétard. Il m’embrasse et se rue à la douche. Je bois, me recoiffe un peu, enlève le maquillage sous les yeux, remets ma jupe droite et passe ma main sur mes seins. Je relève un peu le volet pour que l’air entre. Il sort de la douche, et je lui dis d’aller boire ce qu’il veut, qu’il n’y a pas que de l’eau, puis prends ma douche. Je remets un peu de mascara, de déo, ma jupe et un haut transparent, et m’installe au salon en allumant la télé.
Il vient s’asseoir à côté de moi avec verre d’alcool, me prend dans ses bras. Il est en caleçon. Je caresse torse, me serre contre lui. Il m’embrasse le front et je lui choppe la bouche, en lui caressant la joue. Il me dit que je suis un sacré numéro, je lui dis qu’il n’est pas mal non plus.

Après quelques minutes de caresses et de repos, les langues se remettent en action, sa queue remonte, il m’enlève mon haut va chercher une capote et me prend sur le canapé, en me mordant le cou, en me roulant des pelles, en tenant mes seins. Il me fourre bien et j’aime ça, mais ça ne vient pas, mais tout d’un coup il me serre le cou et me mange le sein tout en continuant à bouger en moi, et boum ! Orgasme ! Aussi simple que ça. J’ai des larmes qui coulent et il a bien vu que j’étais venu, même si je ne suis pas une gueularde. Je me relève et l’embrasse, puis me mets à 4 pattes.
Il m’enfile joyeusement, m’appuie la tête en bas et s’active en moi. Il me caresse les seins et vient assez rapidement. Nous nous essuyons mutuellement avec des mouchoirs et restons dans les bras l’un de l’autre. Puis il se rhabille, on se dit merci et il rentre chez lui. Je mets mes habits, les draps et les jetés de canapé au linge sale, je me lave, il est très tard dans la nuit, je mets à la hâte des draps propres et m’endors comme un bébé, en espérant le revoir pour d’autres parties de sexe.


heraude2011 48M

8/23/2012 1:45 pm

encore une fois quel récit, toujours excitant, toujours très chaud et jamais vulgaire.... du bonheur à te lire, si seulement j'avais ton talent... bises


rm_Coconuttss34 replies on 8/24/2012 9:02 am:
Merci, ça fait plaisir à lire. Je ne cherche pas ici la popularité, mais quand même, ça serait complexant de passer inaperçue. Alors merci à tous pour avoir pris le temps de lire, et un merci particulier pour ceux qui ont la gentillesse de laisser un petit message, au combien réconfortant

rm_Coconuttss34 43F  
66 posts
8/15/2012 12:02 pm

Si vous avez pris le temps de le lire jusqu'au bout, vous méritez une médaille ! Désolée, je me suis laissée prendre au jeu. Je pense avec du recul que les descriptions sont un peu lassantes...


Become a member to create a blog