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Pigalle la nuit.  

rm_HotBassMan 40M
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6/30/2011 8:47 am
Pigalle la nuit.


Cela faisait près d'une heure que j'attendais sur le lit, dans cette ambiance carmin que partagent nombre de chambres de l'hôtel Amour. Une heure que j'étais arrivé, en avance, tellement impatient, et en même temps tellement impressionné par ce piège que je m'étais tendu. Une heure que je retournais dans ma tête cette soirée, au Sans Soucis, quelques jours avant. Ce genre de soirées où les Mojitos, fort bien servis d'ailleurs se substituent à l'air que l'on respire, laissant parler les pulsions et les envies.

La soirée avait bien commencé, avec les amis habituels, et les gens BCBG (Beau Cul Belle Gueule), de passage, ceux la même que l'on retrouve chez Moune vers 4 heures du mat', passé trois grammes, la conversation ne tournais plus comme souvent qu'autour de la sainte trinité des sujets: cul, drogue, mon verre est vide.
Je finissais la soirée accompagné d'une copine que je dragouillais déjà depuis quelques temps, et que je ne laissais apparemment pas insensible, et de deux charmantes nanas qui s'étaient greffées sur notre groupe toute la soirée et qui comptaient bien faire la fermeture. La discussion passionnante,
tournait depuis un certain temps autour du gang bang, éminent sujet s'il en est, et chacun y allait de commentaire. Les deux "inconnues" n'étaient carrément pas contre, l'une ayant très envie de se faire purement doucher de sperme en grosse quantité, ma copine, un peu plus frileuse se voyait bien avec deux ou trois mecs, mais pas trop sûre de ce qu'elle en aurait fait, en tous cas, à les voir se dandiner sur la banquette, ça devait mouiller sec au rez-de-chaussée. Pour ma part, je plaisantais grassement sur le fait que me retrouver avec une dizaine de bites tendues autour de moi ne me rassurait pas tellement, mais que l'idée de me faire surpasser par dix chattes en furie, prêtes à m'en faire baver, me branchait carrément. Douce virilité exacerbée grâce
aux litres d'alcool ingérés. Ni une ni deux, les mots lécher, envie, et quand tu veux, étaient lâchés, lieu du rendez vous fixé trois jours plus tard dans ce célèbre hôtel de Pigalle louable à l'heure, en ce début de soirée. Échange de numéro avec les deux inconnues, promesse faite, baiser très langoureux pour sceller le pacte, et rires aux éclats. Mais voilà, maintenant j'y étais, après trois jours d’érection intense à l'idée de me retrouver jouet de ces trois femmes assoiffées, mais l'alcool dissipé, et l'attente ne m'aidaient pas à trouver l'inspiration. Heureusement que j'avais pensé au champagne.

L'heure du rendez vous était déjà passée de 15 minutes, quand je reçu un coup de fil de mon amie, m’annonçant qu'elle arriverait en retard. De toutes façons, j'étais encore seul, et je sentais bizarrement l'affaire tourner court. Qui sait, nous pourrions vivre ce moment à deux sans y perdre en intensité, mais mon estomac ne pouvait s'empêcher de se nouer.
La porte s'exprima enfin, après 45 minutes de pensées vagabonde, et pour une surprise que je n'étais pas près d'oublier. Sept, elles étaient sept. Ces petites cochonnes s'étaient branchées entre elles deux jours avant, pour me faire la surprise du siècle, et proposer le plan à quelques copines. Si dans les premières minutes je ne savais plus vraiment à quelles lèvres m'accrocher, je fut rapidement plus débordé que les coupes de champagne qu'elles vidaient sur mon torse, et c'est aux seins que je ne savait plus auxquels m'abreuver. J'étais à leur merci, et c'était tellement bon, je sentais leurs mains parcourir mon corps, s'attarder sur mes lèvres et mes tétons, je cherchais quel corps caresser avec les miennes mais il y avait trop de choix, mon sexe ne tenais plus en place lorsque l'une d'elle se décida à ouvrir ma braguette, et enfourner ma bite de tout long dans sa bouche si chaude, je sentais l'excitation monter chez toutes les autres filles, à qui allait prendre la suite, mais toutes ne pourraient pas y accéder en même temps, alors comble de l'excitation, pendant que deux autres léchaient le reste de mon corps, et que l'une me donnait ses seins à téter, les autres commençaient à se caresser et s'embrasser devant nous.
Ce moment exquis ne semblait pas vouloir s'arrêter lorsque les pantalons, jupes et shorts commencèrent à tomber, révélant des croupes à faire bander un eunuque, et des chattes plus belles les unes que les autres qu'il me tardait de goûter, et humer. Le rodéo du cuni pouvait commencer, l'orgie était de taille, que si je m'en donnait à cul joie à me vautrer dans tant de cyprine, et je peux vous dire que j'adore ça, je n'était pas le seul à m'amuser, car ça gamahuchait à tout va autour de moi, même sans regarder, les cris et respirations ne laissaient pas place au doute. Tandis qu'allongé sur le lit et que mes bourreaux me présentaient leur sexe et leur cul dégoulinant de vice pour que je les lèche toujours plus profondément, les bouches autour de mon sexe se transformaient également en chatte lubrifiée, et en anus dilatés, jusqu'à ce que mon trou à moi se trouva occupé par un index très agile, qui me combla de bonheur. C'était le plus beau<b> cocktail </font></b>de ma vie, tous ces goûts exquis se mélangeant, et s'exhalant entre eux, ces deux heures furent sexuellement des plus intenses qu'il m'ait été donné d'expérimenter, et je ne peux qu'être déçu que mon éjaculation, étrangement conséquente vu les conditions, n'ai pu honorer comme je l'aurai souhaité toutes ces bouches et poitrines avides.

Nous nous quittâmes rapidement, se promettant que si l'une d'elle s'organisait un gang bang, je me ferait un plaisir de rendre la pareille, mais depuis ce jour, aucune nouvelle, à part de mon amie bien entendu, avec laquelle il ne s'est rien passé d'autre pourtant, mais nos regards ne sont clairement plus les même, et je crois qu'une pointe d'envie s'y cache toujours.
Ce souvenir suffit à me donner la banane en toute circonstance, et j'avoue recommencer à m'imaginer remettre le couvert... On sert où de bons Mojitos?

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